Mywalkening

Alors. Que dire de collateral? Certes ce n'est pas Heat, certes ce n'est pas Révélations mais cependant c'est loin d'être mauvais. Michael Mann filme comme un dieu comme toujours et ne sort pas de l'aventure déshonnoré. Il y a de très bonnes idées, d'excellentes scénes, certaines scénaristiquement dispensables et une ou deux fois carrément malvenues (déjà vues surtout) mais l'ensemble se laisse regarder avec plaisir. Le plus grand handicap de ce genre de productions à mon avis, c'est qu'il s'agit de "films-concept" et qu'un réalisateur aura beau faire tout son possible, il pourra tirer de l'histoire quelque chose de bon voire très bon, mais jamais un chef d'oeuvre. (Spielberg s'en sera sûrement rendu compte avec son "Terminal")
A l'heure actuelle, je dirai que ceux qui s'en sont le mieux sortis sont Vincenzo Natali avec "cube" et Mike Figgis rentré en grâce avec "Timecode".
Allez on va plutôt attendre de revoir the "Eternal sunshine of the spotless mind" pour se refaire un avis...

"Arrête de porter ta casquette, t'es ridicule avec". C'est le texto que j'ai reçu de Nath qui habite Paris quand même et ne m'a jamais vue avec le dit couvre-chef. Alors je ne sais pas lequel d'entre vous est parti faire de lâches commentaires derrière mon dos (même si la Lozère me semble suspecte sur ce coup) mais moi je dirai que:

- Si Barnoux a le droit d'entrer en boîte déguisé en popeye, de remettre des T-shirst sur lesquels il a vomi à la féria et de se casser la gueule devant des videurs

- Si le bitérois peut se trémousser trois jours durant avec un foulard rouge et un chapeau de paille sur la tête

- Si l'indien peut se badigeonner les cheveux de gel au point de remplacer le papier tue-mouche

- Si Bertrand peut se promener par 40° celsius avec un jean noir une polaire et son blouson Lafuma

Alors moi Jean-Michel T.... j'ai bel et bien le droit de me ballader avec mes T-shirts Lula et ma casquette St Dogbert qui contrairement à vous messieurs ont la politesse d'avoir des messages à faire passer.
Fin de discussion.

Sinon, votre jm national ayant fait orgie de livres, cd et dvd divers à la médiathèque s'est aussi donné l'occase de ressortir sa guitare du placard en ramenant à la maison un petit bouquin intitulé "Les partitons de Jean-Jacques Goldman". Depuis deux jours, la maison résonne de faux accords et de battements de batterie dus au voisins qui tapent sur les murs gauche (poing), bas (balai) et haut (bébé). Le plus sublime dans tout ça? Ma voix de crooner qui fredonne avec classe les "filles faciles". De là à dire que je ne chante que les choses que j'espère mais n'ai pas...

Un homme se lève, va à la fac, s'assoit dans un salle de TD pendant deux heures et demi puis se relève. C'est fini, il est en week-end.

La première après midi de celui-ci sera consacrée à Val (non y a rien! Même si on va au resto, sort, se ballade et se baigne à poil ensemble à l'occasion...) pour une mission "shopping" qui je le sens me laissera de nombreuses sequelles. Dans les films, les filles poursuivies par un tueur psychopathe ou un violeur du dimanche ne devraient pas se réfugier dans des commissariats ou des boîtes de nuit mais bien dans des magasins de fringues féminins. S'il y a bien un endroit ou un homme n'est pas à sa place, c'est celui là.
Un peu plus longtemps et mon corps subissait d'irréversibles tranformations. Citons un accroissement de mon volume mamaire, l'envie de marcher avec des talons aiguillles pour me disloquer le bassin et un début de croyance dans le fait que mon look et mes fesses avaient plus d'importance que ma personalité. Heureusement que les femmes ne mettent pas autant de temps à choisir un copain sinon elles seraient pas arrivées. Il est vrai qu'il est plus facile d'estimer la quantité d' argent liquide dans un portefeuille que la qualité hautement impobable d'un tomber de jupe.
Enfin, tout calvaire a une fin, même ceux là.
Vendi, vidi, vicci!

La proposition improbable de la journée, c'est Ben qui cherchait un pigeon pour pas être le seul con à ne pas savoir danser à son cours de salsa. Le code d'honneur de l'amitié (et la curiosité) jouant, j'ai failli me dévouer même si cela impliquait de me trémousser pendant une heure contre des bombes latines en chaleur mais heureusement, ma moman chérie s'était cassée avec la voiture ce qui me dispnsait de faire un choix.
Ce qui est cool, c'est que maintenant on va pouvoir le chambrer comme des porcs et demander des démo sur les podiums des boîtes.

Sinon, l'état major allemand a décidé d'autoriser les relations sexuelles au sein de l'armée (Pour diminuer le nombre de plaintes pour agression ou pour suciter plus de vocations?) et même d'autoriser des conjoints à vivre ensemble sur les bases militaires. Pour info, je crois que sur les trois cents dernières femmes soldates américaines rapatriées d'Irak pas moins de soixante-deux étaient enceintes (chiffres cités de mémoire).
Un dernier commentaire sexiste pour la route?
Qu'est ce qu'on ferait pas pour avoir des fraises hors saison...

Ca y est, le forum est enfin prêt. Même si je pense qu'il sera principalement fréquenté par les (et utile aux) potes de Montpellier, tout le monde est libre de s'y inscrire. Par contre les gars, je vous le dis tout de suite, c'est pas moi qui vais administrer ce truc...

Pareil pour les profils. Ceux qui voudraient voir le leur apparaitre sur cette page n'ont qu'à remplir le même questionnaire que moi et à m'envoyer leurs réponse ainsi qu'une chtite photo et je me ferai un plaisir de vous immortaliser.

Ca y est ! La réunion de prérentrée du DEA a eu lieu. Jean-Michel qui se souvenait d'un certain barbecue avec l'équipe du labo de chimie de Nina abordait la rencontre avec des « nerds », dingos de mathématiques dans la crainte. En fait, c'est moins pire que prévu et les plus marrants étaient surtout les profs (Babenko impérial comme à son habitude). Après présentation de l'emploi du temps, j' ai vite compris que ça allait être un enfer. 9 heures de cours par semaine et un Jean-Mi en week-end le mercredi soir (voire le mardi). Dans ces conditions, plus d' excuses pour ne pas gagner un peu d' argent et me mettre sérieusement à faire du scénar ou à écrire.

Comment les filles fonctionnent elles avec les mecs ? Réponse : Comme dans un magasin de literie! C'est la conclusion à laquelle je suis arrivé en accompagnant une certaine personne Jeudi dernier. Travelling arrière. Une jeune fille rentre attirant l'attention du vendeur. Celui-ci s' approche et sort son baratin sous l' attention polie de la demoiselle («vas-y mon gars, montre moi ce que t' as dans le ventre»). Pendant au moins trois minutes, elle s' intéresse, pose des questions et donne au vendeur l' impression d' exister avant de brusquement l' ignorer complètement. Dépité, celui-ci finit par s' éloigner. A ce moment la fille le rappelle («tu te prends pour qui? on ne me quitte pas comme ça») le fait encore tourner en bourrique cinq minutes puis... Part sans rien acheter. cqfd !

En parlant de literie, étonnant de voir à quel point les gens sont sensibles à l' argument de vente «vous passez un tiers de votre vie dans votre lit ; autant qu' il soit confortable» tout en restant indifférents à un «Tu respires 24 heures sur 24. autant que l' air ne soit pas pollué ». Il est vrai que contrairement à un lit on ne peut pas montrer son nouvel air propre à ses copines lors de ses réunions tupperware

Et de trois ! Trois cuites d' affilé cette semaine. La journée d' hier s' était révélée très difficile pour mon estomac qui a bien failli me faire gerber en pleine réunion à la fac. Juste quand ça commencait à aller mieux, voila Raph qui me call pour une soirée au Fit'z Patrick qui m?a ravie.
Une pinte de Guiness entre les mains, des peaux laiteuses à souhait, des corps robustes et parfois même, un soupçon de joues roses. Pas doute, je suis bien en Angleterre! Raph qui a la tchatche pour ce genre de choses, a réussi à aborder un écossais bien accompagné, qui devait finir par nous présenter ses amis. Nous avons cru un instant nous préparer une magnifique année de débauche avec des suédoises atomiques mais notre tentative d' incruste n' a visiblement pas convaincu au-delà du premier quart d' heure. Passons. Y en aura d' autres.
Mais maintenant ce visage me manque...

Je finirai ce post sur le texto que ce bon vieux Ben m'a envoyé hier dans l'après-midi.

« On est dans le train. J'ai une putain de gueule de bois et je rencontre ma belle famille pour la première fois dans une heure. Qu'est ce que je fais? »

La scène se passe dans une maison. Un homme nu lit un livre sur un banc. De temps en temps, il se lève et change de place sur le banc avant de reprendre sa lecture. Pourquoi?
C'est la technique qu'avait adopté un fameux évêque pour juger s'il devait condamner des oeuvres réprouvées par la morale. Il parcourait page par page ces ouvrages licencieux et quand son corps "réagissait" de manière trop violente, se levait, se déplacait et utilisait la fraicheur de son banc de marbre pour calmer ses ardeurs.
L'eglise a de tous temps condamné la lecture de certains ouvrages mais ce n'est qu'au XVième siècle qu'une liste noire fait son apparition: l'index (d'où l'expression mettre à l'index) qui existe encore de nos jours.
La censure oubliée, les grands indignés des siècles passés ont aussi et surtout permis la création de magnifiques bibliothèques remplies d'ouvrages qui, en d'autres circonstances, auraient sans doute disparus à l'heure qu'il est. On peut ainsi citer le cas de la "Leninka" qui mettait à la dispositon des aparachiks partant en vacances ou cherchant à se détendre de nombreux romans proscrits par le régime communiste. Là où les nazis brulaient les livres, d'autres ne faisaient que les cacher. A bas la censure, vive les censeurs...

Si vous captez rien au titre c'est normal. C'est parce que c'est du surréalisme (écriture auomatique). Il paraît quand même que cette phrase aurait traversé les décennies. Etonnant? Moins si je vous dis que c'est de Paul Eluard.

Les nouvelles technologies foutent décidemment la merde. Prenons un couple d'amoureux lambda qui se tient tendrement par la main et n'interromprait pour rien au monde ce doux contact. De deux choses l'une, ou c'est le garçon qui a la main droite de libre, ou c'est la fille.
Jusqu'ici rien que de très normal me direz vous. Maintenant, rajoutez un téléphone portable qui sonne dans le sac à main de votre copine (sac à main qu'elle a bien sûr casé entre vous deux). Vous voyez le problème et les disputes engendrées par la bête?

"J'en ai marre d'être toujours du côté gauche Marc. C'est toujours toi qui a la main droite de libre pour répondre au téléphone. Je crois que tu t'investis à reculons dans notre couple..."

Et voilà pas que c'est parti pour des heures de négociations et de prise de tête style Barnoux-et-julie-achétent-des-yahourts-à-carrouf (Alors, je prends le côté gauche les lundi, mercredi, vendredi et dimanche entre 14 et 19 heures; toi t'as le reste. T'es contente?). Tout ça pour dire que le progrés oui; mais si on sort avec des gauchéres.

Barnoux d'ailleurs dont la vie étudiante est devenue un enfer depuis que la mafia mulhousienne a lancé un contrat sur sa tête. Moi petit, j'avais peur des gars qui faisaient de la boxe, du karaté ou avaient un grand frère instructeur dans la légion. Ben stresse à cause d'un gars épais comme moi qui a fait de la muscu dans sa jeunesse... C'est vrai que s'il lui fait une attaque "dévellopé-couché" à la verticale ça va lui faire mal.
Pour l'instant je rigole mais si après faut aller se battre et prendre des coups de fusils à pompes à cause de Julie, ça va faire chier...
Mais que ne ferait on pas pour ses amis?

Le premier nouveau visage vraiment interessant de l'année est blond et a les yeux bleus. Ca se passe cet après-midi quand, désemparée, une jeune fille fait appel au vieux briscard de la fac que je suis pour trouver son chemin. Les hommes adorent les demoiselles en détresse, je suis un homme... on a compris.
Niveau drague à l'improviste, j'ai encore du boulot, surtout quand certains parasites sont là pour tout faire chier. Je remercie donc encore une fois la personne qui m'a obligée à jouer à la carte au trésor tout l'aprém à la fac et qui, en une demie-heure, m'a permis de réinventer cinquante manières qu'ont les filles d'augmenter la taille de leur poitrine sans subir d'intervention chirurgicale.
Je veux parler de Val bien sûr, élue pourrisseuse officielle de toutes mes tentatives depuis la féria de Béziers. L'avantage c'est qu'à force, quand je l'aurai plus dans les pattes, ça risque d'être super facile d'un coup.

Flash-back: Perdues dans la toundra Brésiliennes, trois destinées liées par le sang décident de livrer une guerre farouche contre l'ennui en tournant le remake du générique d'une série bien connue. Sans producteurs et presque sans scénario, ils livrent dix minutes durant un combat acharné contre les éléments sauvage de l'audiovisuel. Le resultat est ici (lien: choper le fichier .MPG tout en bas). Vous ne verrez plus jamais Joshua Jackson comme avant.

Quand Jean-Mi se fait chier, il utilise ses cpacités analytiques pour lutter contre le terrorisme international. Exemple: Peut on prédire la prochaine attaque des dissidents Tchetchénes sur le territoire Russe rien qu'en analysant les deux dernières prises d'otages? Il me semble que oui.
Récapitulons: On sait que:

- Indice b: Pour l'instant, la moyenne d'âge des otages diminue de 15 ans à chaque nouvelle attaque

Les cimetières répondant à la condition b mais pas à la a sont évidemment à exclure. Reste... La banque de sperme de la place Rouge où les éprouvettes contenant des chromosomes X sont signalées par un marteau et les Y par une faucille (je sais on aurait pu croire le contraire).

Pour les présents à la cafet vendredi qui s'inquéteraient d'être incultes et ne voudraient pas le rester, voici un petit bout (que j'aime beaucoup même si c'est plus joli en allemand) de l'oeuvre de Goethe (lien):

Qui chevauche si tard dans la nuit et le vent ?
C'est le père emportant son enfant.
Il a son fils bien serré dans ses bras,
Il le tient ferme et à l'abri du froid.

- Mon fils, pourquoi caches-tu, angoissé, ton visage ?
- Ne vois-tu pas, mon père, le roi des Aulnes ?
Le roi des Aulnes avec couronne et traîne ?
- Mon fils, c'est une traînée de brume.

- Viens, cher enfant, viens, viens avec moi !
À de biens beaux jeux je jouerai avec toi ;
Maintes fleurs diaprées croissent sur la rive !
Ma mère a maints vêtements d'or.

- Mon père, mon père, n'entends-tu donc pas,
Ce que le roi des Aulnes me promet tout bas ?
- Sois calme, reste calme, mon enfant ;
Dans les feuilles sèches siffle le vent.

- Veux-tu, bel enfant, venir avec moi ?
Mes filles de toi sauront prendre grand soin ;
Mes filles conduisent la ronde nocturne,
Et te berçant et en chantant et en dansant t'endormiront.

- Mon père, mon père ne vois-tu donc pas
Les filles du roi des Aulnes en ce lieu sinistre ?
- Mon fils, mon fils, je le vois fort bien :
Ce sont les vieux saules qui ont l'air si gris.

- Je t'aime, ta belle forme me ravit ;
Ne consens-tu pas, j'userai de violence !
- Mon père, mon père, le voilà qui me prend!
Le roi des Aulnes, comme il m'a fait mal !

Le père frémit d'horreur, il chevauche plus vite,
Il retient dans ses bras son enfant qui gémit,
Il atteint sa demeure avec peine et détresse :
Dans ses bras, l'enfant était mort.

Désolé mais c'est tout pour aujourd'hui. Ne m'en sortant pas avec mon "Erasmus-correspondance", je laisse le mot de la fin à ce brave Voltaire qui n'a pas fait que du Candide:

Phrase entendue sur France inter à propos de je ne sais plus quoi. Ayant longtemps cherché le mieux d'entrée (de manière parfois déesespérée je vous l'accorde - Au moins le temps aidant, suis je passé d'un enemi du bien de paillettes à un mieux pour moi) je n'ai strictement rien à dire sur le sujet....
C'est juste que je me demandais ce week-end quelle était la position de l'Eglise Catholique sur ceux qui trompent les personnes dont ils sont les amants ou les maitresses (vous suivez?). Vu l'évolution des moeurs et la volonté des autorités religieuses de s'adapter à celles-ci, aurons nous droit un jour à un douzième commandement qui nous dirait quelque chose du genre: "Tu ne tromperas pas la femme de ton voisin" ou "Tu ne trahiras pas ta belle-fille".
L'avenir nous le dira.

"Oui mon garçon, c'est une jolie bague; mais je crois que c'est pour ça qu'ils ferment les cimetières la nuit..."

"Voyons. Tout le monde te dira que pour que je laisse un ami dans le pétrin, il faut que j'ai vraiment quelque chose de mieux à faire..."

C'est le genre de répliques qui nous ont fait poiler tout au long de ce week-end glandouille avec mon frère devant l'intégrale (non censurée) de la seule vraie série culte du 20éme siècle. Je veux parler bien sûr de "Marié deux enfants"(lien)
Al Bundy est un looser, sa femme une couch-potatoe et ses enfants des ingrats tapeurs. Et pourtant, quand il rencontre une hotesse de l'air canon et entreprenante qui lui dit: "J'aimerais rencontrer un homme qui s'implique... un qui reste toute une nuit..." il trouve le courage de s'enfuir et repartir vers son foyer morne et grisâtre. Quel est le secret d'Al Bundy? Je dirais que contrairement à beaucoup, son couple ne s'est jamais fait d'illusions et que le recul incessant que lui et sa femme se forcent à entretenir à ce propos finit par constituer le plus solide des ciments.
Al et Peggy, une leçon à retenir?

Le truc trop saoulant de la semaine c'est que malgré mon "free-emploi du temps" j'arrive pas à me poser une demi-heure sur le dernier Ian M. Banks. Rien de plus chiant que de lire un livre de six cents pages dix lignes par dix lignes.

Sinon, comme vous l'avez peut être remarqué, j'ai finalement cédé à l'assaut des critiques et remplacé le photo centrale. Pas tout à fait cependant.
A l'usage, ceux qui passeront souvent, se rendront compte qu'à leur manière Nina et d'autres traînent toujours par là (j'ai fait ça tout seul comme un grand...).
Rapellez vous du roseau défiant le Chêne: Plier mais ne pas céder....

Il en est des soirées du jeudi soir comme des filles à la cafet. Il m'arrive encore de regretter qu'elles ne soient pas anglaises, ce que j'en préfère est souvent dérrière un comptoir et, comme partout ailleurs, le bon fréquente le moins bon. Le pire bien sûr, c'est la dernière soirée au Barberousse ou certaines soirées loose chez JB qui parfois, auraient pu servir de définition au mot "inaction" pour le Larousse. L'excellent c'est quand Benjamin réinvente le ventriglisse, se casse la gueule sur des barrières pour impressioner Julie, que je passe une demie-heure à chanter des chansons scoutes devant un interphone pour traquer Pierre ou que JH s'essaie à ses propres périls aux joies du coup de pied retourné. Quand à savoir s'il faut endurer le pire pour vivre le meilleur... il y a longtemps que j'ai choisi mon camp.
Juste quand il semble que la routine s'installe, que l'on croit que tout est fini et qu'il n'y a rien de nouveau à faire, Montpellier se charge de nous détromper. Les aventures et les plaisirs s'inventent d'eux mêmes aux cours de nos périgrinations et il m'arrive de prendre tellement de plaisir à suivre mes amis (ceux du jeudi et les autres) dans certaines odysées alcoolisées que je pense parfois être la cible d'une conspiration dont le seul but serait de me donner l'envie de rester célibataire encore et toujours.

La soirée d'hier, sans atteindre des sommets, se sera révélée fort agréable. Le Chardonnay pris au comptoir de l'arc marquera le début de quatres heures nomades et peinardes à travers le centre ville. Pas encore un "pub-crawl" mais presque. Chacun trouve son plaisir où il le peut et où son coeur le porte. Ben fait de la gérontophilie, Julien mate les serveuses et chambre les pauvres filles qui ont abusé du Mc Do, Pierre rêve d'une télé réalité au cours de laquelle un ingénieur romantique serait aux prises avec pleins de secrétaires tentatrices se passant sur le corps les glaçons de la machine à eau (Inutile de dire qu'avec un tel concept, "La boîte de la tentation" est d'ores et déjà promis à un succés international - Sûrement plus grand que "L'hospice de la tentation" que Ben va nous sortir la semaine prochaine) et Jean-Michel s'essaie au vol à la tire.
Mais pas n'importe quel vol monsieur! Rien de moins qu'une bouteille promotionelle gonflable de smirnoff ice haute de 1m60 dérobée au vu et au su de tous! J'aimerais vous dire que la poursuite fût terrible et que des hordes de barmen enragés se sont lancés à mes trousses. La vérité c'est que Jean-Michel s'est fait ses films tout seul pendant qu'il courait comme un dératé dans les petites rues du centre ville.

"Que ferait Jason Bourne? Tourne à gauche! A droite maintenant! Brouille les pistes! Cache ton visage! A trois, jette toi dérrière cette poubelle et n'en sort pas avant que le soleil soit levé et que l'ombre du clocher n'ait atteint la poignée de porte de l'épicerie en face...etc".

Passons. Mais je suis bien content de l'avoir malgré tout. Même si je me suis complétement détruit la jambe et que je ne pourrais sans doute pas faire de foot la semaine prochaine, le jeu en valait la chandelle (l'amputation?)...

A tous les défenseurs du politiquement correct qui auraient pu être offusqués de mon chambrage à propos de la "bac STT" de Barnoux, je tiens à préciser qu'il ne s'agit en aucun cas d'un avis personnel mais plutôt d'un jeu sur un préjugé. Cette explication sera aussi valable lorsque je dirai que les corses sont des fainéants, les Italiens des gros cons ou les blondes des crétines silliconnées. J'ai pas eu de remarques mais je fais gaffe maintenant. Je me souviens de quand, pour rigoler, David me traitait de "sale batard" parce que ma mère avait couché avec un blanc et que je lui répondais par des "sales nègre" parce que... ben la raison est évidente. Vu les origines ethniques de ma môman et le fait que ça ne soit qu'un délire avec Dave, j'ai parfois mal pris les remarques agressives des gens qui, assistant à la scène sans être pévenus, me traitaient de "facho" ou de " sale raciste". J'ai évidemment arrété depuis (quoique avec JB...) et, après réflexion, j'en suis arrivé à la conclusion que même dans ces circonstances, ces personnes avaient tout sauf tort. On est un peu con à 17 ans...

Ceux qui me connaissent savent que par principe, quelque soit le rendez-vous, quelle que soit la personne, je me présente toujours avec un quart d'heure de retard. Avec Val c'est plutôt de l'ordre des quarante-cinq minutes. Cependant ce soir, j'aurais eu la chance de pouvoir répondre: "Tu préféres un winner en retard ou un looser à l'heure?" (Voir plus bas)

Aujourd'hui c'était journée peinard: Pas de nouvelles de Ronald, repas avec Brownie toute émoustillée par son DEA, clope avec Bertrand (fatigué mais encore entouré de femmes- il n'arrête plus!) avant d'aller au sport puis de rejoindre ma grande blonde pour un petit resto fort sympatique (pour son compte en banque j'entends...).
En route vers la fac, j'ai trouvé une idée sympa qui rejoindra la pléthore de mes thémes de nouvelles et scenars de BD que je n'écrirai jamais. ("Un jour j'irai à New York avec toi"... air connu ) Ceux qui se sont toujours demandés pourquoi je me fais chier à aller à l'université à pied ont leur réponse. C'et le meilleur moyen que je connaisse pour stimuler ma (pseudo) fibre crétrice.
Heureux qui comme Jean-Mi a croisé des poubelles vertes....

L'homme de la semaine qui "se la péte trop et qu'il faut le calmer tout de suite" c'est ça:

Pierre trussart, encore lui, qui n'en peut plus depuis qu'il s'est fait draguer par une trentenaire audacieuse (vous savez les "célibatantes"...)
Nous rapellerons à ce jeune homme ce que disent tous les scientifiques. Si l'apogée du désir sexuel se situe dans la vingtaine pour les hommes, les femmes ne l'atteignent qu'à le trentaine*. (Ce qui explique qu'elles se jetent parfois sur des gamins de 15 à 23 ans). Ajoutons à cela que les secrétaires c'est comme les étudiantes de droit ou le figurantes de médecine: si elles sont là, c'est pour épouser un jeune homme naïf qui gagnera du fric et qu'elles pourront tromper en toute tranquilité après avoir élevé les enfants dont il ne sera pas le père.
A ce prix, je préférerais presque la bac STT de Barnoux.

Si ces arguments ne suffisent pas, j'ajouterais que moi au Brésil, c'était une d'au moins soixante ans d'abord et que cette aventure s'est déroulée le 15 Septembre 2004, soit le jour où, pour la troisième fois, vous vous êtes fait humilier au foot par "je sais pas faire d'amorti" Benji et par "Je crache mes poumons" Jean-Mi. Vu les circonstances et à la relecture des lignes précédentes, je crois donc que toute cette histoire ne mérite que le qualificatif de "non-événement". Voila c'est dit... Rentrez chez vous monsieur et ne venez plus nous casser les c...

Le gag du jour on le doit encore à un personnage de ce cher "Dilbert" qui, appellant la Dogbert's Hotline et demandant: "J'aimerais parler à votre supérieur" se voit répondre:
"Cette question fait à l'heure actuelle l'objet d'un débat religieux"

Rapellons à nos amis bdphiles et aux autres que l'on peut retrouver ce strip exceptionnel de manière quotidienne et en ligne. C'est ici .
Quand à l'image du titre, c'est la couverture d'un album de "Sin City" du cultissime Frank Miller, qui ayant sauvé Batman en bd (Dark knight Returns: Enorme!!!!) , se bat avec Christopher Nolan (Mémento) pour renouveler le miracle au cinéma.

Rien de prévu demain. La fameuse soirée "carnage" n'aura peut être même pas lieu vu la défection quasi certaine du sieur "Je Boycotte" et celle probable de "ma Belle Amoureuse me Retire toute Nouvelle Occasion de me mUrger et d'eXister". Bref il faudra encore une fois improviser et tenter de faire naître de bons moments du néant des journées anonymes. Je n'irai pas jusqu'à me plaindre de la non planification absolue de certaines périodes de ma vie puisque d'une certaine manière, elle est le reflet de la grande liberté que, pour quelques années, j'ai eu le luxe (et l'envie) de pouvoir m'accorder. Mais tout n'est pas toujours rose pour qui mêne une vie sans contrainte. Et, certains matins, je dois avouer qu'une seule phrase me vient à l'esprît lorsque je me lève: Vivre au jour le jour m'épuise...

Journée de merde. Il fait pas beau. Crevé. Pas d'idées. Pas de motiv. Pas d'amis.

Dans ces cas là, mieux vaut fermer son blog et passer pour un con que l'ouvrir et le prouver.

Entre deux périodes d'hyper activité, ma vie est d'un commun et d'un ennui incroyable. Et quand je m'ennuie... je vais à la fac. On y retire un dossier d'inscription rencontre des amis casés, mal rasés ou pressés à l'image de Magali. En ce moment en plus, on a le droit à la pléthore de petit nouveaux qui débarquent du lycée et qui, malgré des efforts louables pour ne pas paraitre novices, se font remarquer qu'ils n'en peuvent plus - tout vétus en quick-silver de la tête aux pieds de leurs pantallons retroussés et ne sachant pas où s'asseoir à la cafet.
Au moins les tenues exotiques rattrapent les visages ininteressants. Je sais maintenant qu'il faut que j'achète des actions Fructis-gel et que le jour où mon duvet se fera la malle, je pourrai toujours en récuperer la housse pour me faire un sac nike trop fashion que je revendrai 55 euros.
Ma préférence ira à la combo "T-shirt militaire/bob à fleur" qui permettra à son heureux propiétaire de se camoufler tant en haute campagne que dans le jardin de son papi le jour où la Corée du Nord se décidera enfin à nous envahir. Y'a des fois...
Heureusement, la nouvelle brune de la cafet à le sourire habile...

Contrairement à Val, vous n'aimez pas tirer des feux d'artifice sur la plage? Vous detestez le petit travers mais adorez l'architecture "Eh touriste allemand! Regarde mes immeubles en tupperware bleus..." de la Grande-Motte et aimeriez en avoir sur toute la côte? Ca tombe bien parce que le gouvernement à décidé de diminuer de 39% les aides à la protection du littoral et d'autoriser la relance de la construction sauvage dans ces zones. Premiers sur la liste: Cinq régions dont le Languedoc-Roussillon.
Extrait de l'article du monde (lien) :

"En 2005, sauf sursaut du Parlement, la France consacrera donc moins d'argent à acheter des espaces naturels pour protéger ses côtes qu'il n'en coûte de réaliser, sur un kilomètre d'autoroute urbaine, une voie de circulation supplémentaire (15 millions d'euros) !"

Je m'énerverai presque si nos amis chasseurs ne rattrapaient pas le coup en gueulant contre les mesures sanitaires qu'on leur impose dans le but d'éviter une épidémie de rage. Laissons la parole à Henri Sabarot, président de la fédération des chasseurs de la Gironde:

"Nos chiens de chasse ne fréquentent pas les rave parties pendant l'été. Ce sont des chiens ruraux qui ne représentent pas une population à risque."
Avec tout ça, qui s'étonnera que le ministère de la santé déclare la guerre à la maladie d'Alzheimer?

Je me souviens de ce bon vieux Théodore Sturgeon qui disait avec raison:
"90% of anything is crud"
A t'on le droit d'aplliquer ce raisonement à une humanité qui continue à regarder ce fils de pute d'Arthur à la télé et à acheter des places pour voir Titof en spectacle? Ne me posez surtout pas la question.
J'aurais trop peur de ma réponse.

De retour à Montpellier après une semaine et demi de vadrouille. Dix jours à voyager, à ne pas passer deux nuits d'affilé au même endroit et à tracer pour ne pas louper des trains. La visite de Nina est de celles qui vous marquent une semaine. Mais une fois le petit chat reparti, que vous reste t'il? Des souvenirs en pagaille à méditer et, malheureuseument, un retour en force de votre déprime "post-erasmus". Il y a des présences et des visages qui, semble il, ne cesseront jamais de vous manquer.

Le boulet d'or de la semaine (voire de l'année) est attribué à Florent Tual qui, à faire le cabri comme un con en haute (hum...) montagne, trouve le moyen de perdre ses clés de bagnole dans un champ rempli de fougères et de buissons impénétrables.
Résultat: 45 minutes torse nu à chercher un porte clé en forme de Bounty alors que la nuit est en train de tomber et qu'un orage s'approche à grands pas. Grace à mes années de reluquage en amphi et à la fameuse technique "oeil de lynx", je sauverai finalement la situation in-extremis, ne sucitant d'ailleurs aucune reconnaissance de la part de mes deux compagnons. (La prochaine fois, je démarre la caisse et part sans vous...)

Après réflexion, j'éviterai le compte rendu détaillé de ces quelques journées, ayant décidé que certains moments ne peuvent se comprendre que par les personnes qui les ont vécus. (Ca fait pas un post intéressant mais je me rattraperai un autre jour.) Quand au mot de la fin, je le laisserai à cette mère qui, interogée par un petit garçon sur le quai de la gare de Pau, a répondu par la plus charmante banalité qui soit. En fait, la seule, sans doute, qui soit vraie. Car je ne peux que confirmer que, en Angleterre comme ailleurs,
on n'aime pas voir partir les gens qu'on aime....

De retour du Puy! Un week end ma foi fort sympathique en compagnie de mon couple préféré, une famille acceuillante et deux anglais en transit. J'ai conduit un tracteur (trop fier), donné du maïs aux chévres et presque fait une vidange tout seul. Rigole qui voudra. Mais pour Jean-Michel le citadin endurci qui a du planter trois clous dans sa vie, la campagne, parfois, c'est Disneyland. :-)

La maison des Monteillard est un rêve de bricoleur, remplie de fers à souder, de tour sans carter, de four à pains et de murs à refaire. Guigui a su rendre interessante l'histoire des travaux (colossaux) faits et à venir et m'a presque donné envie de m'y mettre (j'ai ressorti les lego là).

Le clou du week-end, ce sera l'hermstock. Festival musical familial où se croisent potes bourrés, musiciens talentueux ("Cause Perdue", excellent), filles aux joues roses, Open bar, marquisette et salade de pâtes . Ca sent le squatt, ça ressemble à un squatt mais c'est pas un squatt. Une très bonne soirée donc, avec un Guigui en très grande forme qui a fait n'importe quoi d'un bout à l'autre, surtout sur scène.
Le jour où il me faudra faire mon bilan, j'aurais une pensée particulière pour Fab et Clémence, qui sont les seuls avec qui je vis ce genre d' aventures qui, pour moi, resteront toujours associées à des trips galéres, des renault chargées à ras bord, des randonées dans les ronces et des nuit à la belle étoile. Pour ça (et pour le reste), je leur serais éternellement reconnaissant.

Sinon les choses sérieuses commencent. La visite éclair de Nina débute demain et il va falloir mener les choses tambour battant. Clém m'a déjà bien aidé en me fournissant le programme de la première soirée. Après ça sera à Flo de prendre le relais à Pau avant que je ne me retrouve face à mes responsabilités. Mais ça va, j'ai le temps de voir venir. D'un autre côté c'est une allemande alors si on lui montre une plage pas trop crade avec du soleil, elle devrait pas casser les c....

Ce soir, je vous demande d'avoir une pensée émue pour Florent Tual et Nath. L'un parce que, bien qu'il ait réussi à prolonger l'aventure de quatre mois, est sur le point de quitter Sheffield pour retourner dans sa vie ordinaire et miséreuse (courage pour les jours qui viennent) et l'autre parce qu'elle s'en va habiter chez des bonnes soeurs à Paris et que malgré une descente surprise à Montpellier elle n'a pas réussi à récupérer ses CD de Brassens que le sieur Tonneau lui avait honteusemement dérobé (accroche toi!).

Avant le dodo, je finirai sur une question de pysique élémentaire sur laquelle certains pourraient m'éclairer. Un peu bourré à l'Hermstock, j'ai repensé à ce vieux gag en une case où un gars prend le jus en pissant sur une cloture électrifiée. Est ce possible? Pour ma part, je jurerai que non. Cependant, bien que de mes semelles isolantes à la non-conductivité de l'urine (je l'ai décidé) j'aie trouvé mille raisons de tenter le coup, j'ai finalement vacillé au seuil de ma vision.
Keaton disait toujours: "Je ne crois pas en Dieu mais j'avoue qu'il me fait peur".

A journée moyenne, soirée de merde. A l'index "grandeurs et décadences du XXI éme siècle", il faudra désormais rajouter une rubrique intitulée Barberousse. Le seul bar qui rallume les lumières à minuit vingt et vous pourrit une soirée d'adieux improviséee à la va-vite. Resultat, une intense frustration accentuée par un Barnoux qui prend la poudre d'escampette afin de retrouver une dulcinée avec qui, les jours précédents, il avait passé à peine 30*24= 720 heures d'affilé. Ce qui d'ailleurs lui fait le plus grand bien vu qu'après il entend du Patrick Sébastien partout.

Quand les soirées vont mal, on se doit de réagir tout de suite. Bref rendez vous est pris pour dans deux semaines pour une soirée "carnage" qui, il faut, se devra de rester dans les annales.

Bon je suis un peu pressé là. Dans une demie-heure je pars en week-end avec Clem et Guigui donc pas de post avant au moins lundi. Félicitatons malgré tout à Bronia qui a réussi à décrocher à l'arraché une place en DEA (avoue, t'as encore montré tes jambes...)

Clément, je vous laisse une petite énigme pour le week-end:

Dans une pièce: trois ampoules éteintes dont les trois interupteurs sont à l'extérieur. Vous sortez, vous faites ce que vous voulez avec ceux-ci et cinq minutes après vous rerentrez dans la pièce et dites quelle ampoule va avec quel interupteur. Comment avez-vous fait?

Ca vient d'Angleterre, ça s'appelle du lateral thinking et tout comme pour l'espérance de vie, les femmes y sont bien plus habiles que nous.

C'est le genre de titre qui vous vient à l'esprit quand à peine réveillé et fatigué d'avoir affronté le vertige et une mort en chute libre pour nettoyer et polir des vitres inaccessibles, vous décidez de vous poser devant "c'est mon choix". Ni pire ni mieux que d'habitude. A t'on le droit de s'offusquer de ce que les télés nous passent et repassent ce genre d'émissions? La réponse malheureusement est non. Car si les gens ne regardaient pas, s'ils n'en redemendaient pas, on ne nous les diffuserait pas. En suivant les lois de l'audience, les programmateurs font, étrangement, preuve d'un étonnant sens de la démocratie.

Qu'est ce que la prophétie de Malachie? Un texte du XII éme siècle qui prédirait l'avénement de tous les papes à venir . On a souvent trouvé des coïncidences troublantes entre ses maximes et l'histoire des anciens papes sans que le vatican n'ait jamais reconnu son authenticité. Pour l'anecdote, selon Saint Malachie un seul pape devrait succéder à Jean-Paul II avant que nos sociétés ne plongent dans l'apocalypse. "Balivernes" direz vous. "Et de toute manière je ne suis pas croyant"
C'est oublier que loin de n'être qu'une autorité religieuse, le Pape est aussi une autorité politique dont la voix a un grand poids tant en Amérique Latine que dans les pays de l'est. Ques se passerait-il si certaines nations exploitaient l'assassinat d'un souverain pontife à des fin géo-stratégiques? C'est le thème de "Fiat Nox", sympathique nouvelle parue dans "Galaxies" n°31.

Je passerai la soirée avc mon frère et ses potes pour une partie de "Diplomacy". Un vrai jeu d'enc.... où l'on trahit, trompe, s'engueule et change la langue de ton portable. Dommage que ça soit aussi long.

De retour à la maison j'apprends que Nina n'arrivant que le 7, je vais pouvoir me bourrer la gueule tout le week-end avec Guigui (si ça tient toujours) et surtout que Flo a encore fait n'importe quoi à cause d'une fille qui l'a marqué.
Loin de lui jeter la pierre (mais rigolant quand même), je ne peux que le comprendre. Une amie me demandait la semaine dernière pourquoi je ne m'interessais pas à une autre. En guise de réponse, je lui avais cité le cas Anna. En effet, cinq secondes après avoir vue ses joues rouges, j'étais pris d'une irrésistible envie de faire le poirier, des galipettes ou d'apprendre la cymbale moldave pour l'impressioner. (parfois je crois que je lui ai fait un peu peur à l'union :-) ). Des choses ridicules mais qui ne trompent pas.
Peut être qu'on a un peu de ça en commun avec Flo - et beaucoup d'autres hommes aussi. Notre jeunesse aidant, il arrive qu'on ne tombe amoureux que de filles qui nous rendent stupides.

My walkening...

Jean-Mi...